Des vacances d’été à l’Ile Maurice

L’île Maurice dispose de quelques unes des plus somptueuses plages de la planète. De plus, elles sont presque toutes publiques. A défaut de pouvoir se poser sur les transats, on peut sillonner sans souci les plages devant certains hôtels. Le meilleur : en plein été, elles sont désertes en semaine, ce qui permet de profiter des eaux transparentes et du sable blanc au calme. Le Nord de l’île et plus précisément à Mont Choisy, Grand Baie et Cap Malheureux, constitue un point de rendez-vous pour les touristes. Les plages y sont très animées grâce à la présence d’un certain nombre de restaurants, bars et clubs en bord de mer. En outre, contrairement aux idées reçues, la mer n’est pas du tout dangereuse : très calme ou du moins avec très peu de vagues, elle se distingue de celle de La Réunion en étant dépourvue de requins. En effet, des lagons protégés par des récifs entourent l’île.

L’Est, le Sud et l’Ouest

Durant les vacances d’été à l’Île Maurice, un petit détour par l’Est de l’île s’impose. On y trouve notamment Palmar et Belle Mare. Bien que ces deux villes comptent un nombre élevé d’établissements hôteliers, elles ont conservé un cadre résolument sauvage et notamment ponctué de vastes plages.

Pour se délecter d’une vue unique sur la mer au sommet des falaises, on met le cap sur la partie sud de l’île. Les falaises remplacent ici les plages de sable blanc. Malheureusement, la baignade est interdite, mais on peut se contenter d’écouter le son des vagues s’écrasant contre le bas des falaises. Quoi qu’il en soit, le sud de l’île a su conservé un paysage naturel et charmant.

Enfin, l’Ouest de l’île est aussi à visiter. Boudé par les Mauriciens car difficile d’accès, cette partie fait le bonheur des amateurs d’activités nautiques. Ils se donnent notamment rendez-vous à Flic en Flac et au Morne. On y trouve aussi de belles plages et les couchers de soleil sont à couper le souffle.

Le tourisme vert

Les vacances d’été à l’Île Maurice riment aussi avec le tourisme vert. Il s’agit de se délecter pleinement de la faune et flore de l’île. Dans ce registre, on peut s’attarder sur les Gorges de la Rivière Noire qui s’étalent sur une surface de plus de 8000 hectares. Des plantes endémiques y sont aussi recensées.

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